Interview décalé….Edouard Bolleter

Pour ce nouvel interview décalé, nous sommes aller à la rencontre d’Edouard Bolleter, ancien coach des Jun A, ancien membre du comité et joueur actuel de l’équipe des Vétérans à 7. On vous souhaite une belle découverte d’un personnage hors-pair et hors-norme.

Comme pour les autres interviews, on te laisse te présenter en quelques lignes. Que fais-tu quand tu n’es pas sur les terrains genevois ?

Hors des terrains, mon caractère s’adoucit. Je pense sans vice, je vis les moments avec légèreté. J’aspire à la quiétude auprès des miens et du FC Zürich. Plus prosaïquement, je chasse l’information, celle qui tue le lecteur, pour les médias dont PME Magazine et le Temps, et je montre mes cravates sur la chaîne La Télé.

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Ton meilleur souvenir durant ta belle carrière ?

Un seul moment est digne d’être conté. Un corner tiré contre Bâle à St-Jacques en Ligue B avec UGS. Je ne comprenais pas pourquoi je devais m’y coller. Puis j’ai compris. Le spectateur bâlois est un peu lama, relativement cracheur 🙂

Une estimation des cartons pris depuis que tu joues ? Quelle est la cause principale de ces cartons ?

C’est une question que je trouve lâchement orientée. Mais j’y répondrai honnêtement. Je ne pris aucun carton dans ma carrière qui ne fut erreur arbitrale. Mais quelle que fut la cause : « casus belli ».

Suze ou bière ?

L’incompatibilité n’étant à ce jour pas démontrée…

La meilleure buvette du canton ?

Je ne les fréquente malheureusement pas. Mais on me suggère que le FC Coheran est ma foi fort bien loti. Y exercerait une tenancière lusitanienne que l’on me décrit comme adorablement bruyante.

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Ta plus belle prise sur le lac ?

J’ai ramené un beau jour une magnifique prise sous la forme d’une amende de CHF 160 « offerte » par deux parfaits psychorigides costumés en mal de virilité. Est-ce ma faute si les poissons préfèrent sauter docilement dans mon bateau plutôt que de combattre ?

Une anecdote depuis ton arrivée au FCC en septembre 2009 ?

L’anecdote n’est pas de mise, je préfère le vocable miracle dans ce qu’il advint un matin d’avril béni de Cupidon. J’ai rencontré la femme majuscule, l’être parfait improbable, le charme version libano-italienne. Ce fut à la suite d’une nuit passée dans les vestiaires hermançois à surveiller nos précieux ballons. Une abnégation récompensée au centuple.

Enfin, si tu pouvais décrire le FCC en quelques mots ou lignes…

Le FCC ne se décrit pas….il se vit !!!!!